Bien plus que des compagnons, les animaux font partie de la vie des Français. Nous avons fait de la lutte contre leur maltraitance une exigence et de la cause animale une évidence.
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Ce qui a changé pour vous
- Parce que l’adoption d’un animal est loin d’être un acte anodin, nous avons encadré la vente d’animaux en ligne et responsabilisé les familles d’accueil pour les 750 000 animaux de compagnie adoptés chaque année.
- Les sanctions sont renforcées en cas de cruauté envers les animaux avec 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende en cas d’abus contre les animaux domestiques et englobent plus de cas de maltraitance.
- Pour améliorer les conditions d’élevage, nous avons mis fin à la castration à vif des porcelets, qui pouvait jusqu’à maintenant avoir lieu sans anesthésie. Cette année sera celle de la fin du broyage des poussins mâles. Nous allons aussi vers la fin de l’élevage des poules en cage. Ce sont des engagements forts et d’une ampleur inédite en Europe.
Emmanuel Macron a pris des mesures historiques contre la maltraitance animale. Ce qu’il avait annoncé en 2017, il l’a fait !
Pour mieux protéger les animaux domestiques contre toutes les formes de maltraitance :
- L’adoption d’un animal ne peut plus se faire sur un coup de tête. Un certificat d’engagement et de connaissances à signer avant l’adoption est maintenant obligatoire, et la vente des animaux en ligne est beaucoup mieux encadrée. Il ne sera bientôt plus possible d’exposer des animaux en vitrine sur rue, ni de vendre des chatons ou des chiots en animalerie.
- Pour protéger les animaux concernés, il existe maintenant une liste qui détermine les espèces pouvant être détenues par les particuliers.
- Il fallait mieux sanctionner les comportements de maltraitance sur des animaux domestiques. La peine pour les sévices graves ou les actes de cruauté́ a été portée à 3 ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.
- Pour lutter concrètement contre les abandons d’animaux, il existe maintenant un statut pour les familles d’accueil d’animaux abandonnés et les associations de protection d’animaux sans refuge.
- Pour soutenir les 300 refuges, les associations locales et les milliers de bénévoles engagés pour le bien-être animal, 15 millions d’euros ont été investis dans ce domaine grâce au plan France relance. Emmanuel Macron a annoncé le doublement de cette enveloppe.
- Parce qu’il faudra encore avancer sur ces sujets, l’Observatoire de la protection des animaux de compagnie a été créé pour apporter une expertise et formuler des recommandations aux pouvoirs publics.
Pour arrêter l’exploitation abusive des animaux sauvages :
- Progressivement, la captivité des animaux sauvages à des fins commerciales est interdite (cirques itinérants, émissions de télévision, jeux, etc.).
- Voir des cétacés en spectacle, ce n’est pas normal. Progressivement, ces spectacles seront interdits, tout comme la captivité d’orques ou dauphins dans les delphinariums. En 2027, cela n’existera plus.
- Élever des visons d’Amérique et des animaux d’autres espèces non domestiques uniquement pour la production de fourrure ne sera plus possible.
- La protection de la biodiversité passe aussi par des aires protégées. 30% des espaces terrestres et maritimes de notre pays sont protégés, dont 10% d’aides marines sous protection forte.
Pour améliorer les conditions d’élevage :
- Les abattoirs sont modernisés, grâce à un investissement record de 115 millions d’euros. Près de 50 abattoirs sont déjà équipés de contrôle par vidéosurveillance.
- Des pratiques archaïques sont désormais interdites. Il n’est plus possible de procéder à la castration à vif (c’est-à-dire sans anesthésie) des porcelets. 2022 sera l’année de la fin du broyage des poussins mâles. Avec l’Allemagne, la France est le premier pays à le faire.
- Il existe désormais un référent « bien-être animal », avec une obligation de formation, dans chaque élevage.
- Les lanceurs d’alerte sont désormais mieux protégés.